fredag 2 december 2011

La Princesse de Clèves, un roman de clés IV: un amour possible, un féminisme du XVII siècle

Madame de la Fayette
La fin de La Princesse de Clèves; avec la jeune veuve au couvent paraît plus tranquille et harmonieuse que triste, probablement parce que Mme de Lafayette trouvait la fin comme une finale aussi logique comme heureuse d’un amour si fatale et incontrôlable. C’est aussi intéressante que la Princesse était morte comme une assez jeune femme « et sa vie, qui fut assez courte, laissa des exemples de vertu inimitables.» 

L’intertextualité du roman se compose surtout du roman courtois du moyen âge, les romans héroïques, cependant le héros du ce roman est une heroïne, et les romans précieux de son époque, le roman avait aussi inspiré  des ouvres comme les premiers romans anglais, par exemple Pamela-or Virtue Rewarded par Samuel Richardson et je pense aux romans de Jane Austen quand je lit: « Mme de Clèves, qui était dans cet âge où l’on ne croit pas qu’une femme puisse être aimée quand elle a passé vingt-cinq ans, regardait avec extrême étonnement l’attachement que le Roi avait pour cette duchesse, qui était grande -mère, et qui venait se marier sa petite-fille. » Peut-être les romans de Jane Austen était une discussion avec Mme de Lafayette parce que Jane Austen croit en amour en mariage, tandis que Mme de Lafayette n’en avait rien d’attente?

Cette histoire d’un mariage entre une jeune femme parfaite, belle et pleine de vertu et un homme qui la présente à son plus grand rival a eu beaucoup de successeurs, entre eux Middlemarch par George Eliot, dont lequel les mots clés de ce blog, réfléchissent les mots finals de La princesse de Clèves:       « for the growing good of the world is partly dependent on unhistoric acts; and that things are not so ill with you and me as they might have been, is half owing to the number who lived faithfully a hidden life, and rest in unvisited tombs. » Les mots qui marquent la fin de La Princesse de Clèves sont: « […] et sa vie, qui fut assez courte, laissa des exemples de vertu inimitables. »

Mme de Lafayette, en étant catholique janséniste, un mouvement dans la reforme dans l’église catholique, faudrait penser à la morte comme une stage temporaire qui mène à la vie éternelle ; d’abord au ciel et puis au monde récréé et parfait, la place qu’on appelle le Paradis. Donc, la fin pour la Princesse de Clèves était une fin heureuse dont laquelle elle réunira avec son mari M. de Clèves, mais cette fois il sera son ami.

Inga kommentarer:

Skicka en kommentar