lördag 3 december 2011

La Princesse de Clèves, un roman de clés V: les précieuses un féminisme du XVII siècle

Madame Scudéry, féministe et précieuse
La Princesse de Clèves est  un mélange entre un roman précieux féministe et janséniste. L’église catholique estime toujours madame Lafayette comme un auteur aussi génial comme moral parce qu’elle faisait partie du jansénisme , un mouvement religieux qui s’intéressait aux relations entre foi et vie chrétienne, à la place du clergé dans la société et aux problèmes politiques de son temps. Les pensées de jansénisme sont présentées dans le roman, en particuli`re l’idées de l’amour comme quelque chose de sombre, d’excessif. La passion amoureuse entre des hommes faibles découvre toute la cruauté et barbarie dans l’homme. Mais quand on peut, comme la Princesse, nier la passion amoureuse l’homme devient noble en pratiquant les vertus chrétiennes, ceux-ci que la Princesse pratiquaient dans le couvent à la fin de sa vie courte.

Le motif et les personnages sont comme ceux d’un roman précieux, l’aristocratie et l’amour, tandis que l’amour dans La Princesse de Clèves ne soit pas idéalisé, comme normalement dans les romans précieux. Plutôt l’amour est une chose à craindre comme une force majeure selon Madame de Lafayette. La vocabulaire est aussi comme le vocabulaire précieux, les mots «nobles» sont vraiment choisi plutôt que les mots «bas» , la langue est inventive et parfois trop sentimentale. Par ailleurs, selon les femmes précieuses une femme libre était une femme qui pouvait résister ses sentiments sexuels et pour cette raison « La Princesse de Clèves» est une femme très précieuse et , malgré tout le chagrin, une femme heureuse, responsable de sa propre vie et par conséquent libre.  Cependat, à la fois la princesse devient une femme qui a trouvé le bonheur dans une vie religieuse, donc elle vit aussi le rêve d’un janséniste.