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söndag 4 december 2011

La Princesse de Clèves, une femme libre

La Princesse de Clèves; un exemple d’intégralité et d’intégrité elle peut fonctionner comme inspiration, bien rare aujourd’hui, pour les jeunes femmes de la génération Facebook
La Princesse de Cléves raconte un récit des trois personnes qui se rencontrent à la cour du Roi Henri II, mais les avaient pu se rencontrer aussi à l’époque de Mme de Lafayette et la cour de Louis XIV. Le cadre historique fait l’histoire plus intéressante et plus vraisemblable, et à la fois, plus facile d’écrire pour Mme de Lafayette en critiquant les mœurs de la cour ; sa politesse vide, son moral sexuel corrompu plein de commères et commers2 méchants.

Tout le monde à la cour, et dans le roman, vit les vies totalement inutiles dans un luxe honteux. Leurs existences sont seulement symboliques comme la vie des célébrités de nos jours. Cette fonction symbolique est marquée en particulière dans la scène du mariage à la fin de la troisième partie du roman où Mme de Lafayette se transforme d’un rapporteur de la passerelle : « Les reines et les princesses avaient toutes leurs filles magnifiquement habillées des mêmes couleurs qu’elles étaient vêtues : en sorte que l’on connaissait à qui étaient les filles par la couleur de leurs habits. » p.193 f. Ensuite, la cour mange : « Le roi, les reines les princes et princesses mangèrent sur la table de marbre dans la grande salle du palais […]. » p.194 Dans cette partie du roman Mme de Lafayette, aussi discrète que prudente, critique la vie luxueuse de la cour, une chose lamentable selon des jansénistes.

Pendant que la cour en totale symbolise la corruption des mœurs, la Princesse de Clèves symbolise la pureté, parmi des couleurs éclatantes elle est blonde, presque blanche « La magnificence et la galanterie n’ont jamais paru en France avec tant d’éclat que dans les derniers années du règne de Henri second. »p.37  « […] il fut surpris de la grande beauté de Mlle de Chartres, et il en fut surpris avec raison. La blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donnaient un éclat que l’on n’a jamais vu qu’à elle; tous ses traits étaient réguliers, et son visage et sa personne étaient pleins de grâce et de charmes. » p. 48

Madame de Lafayette écrivait ce roman dans une Europe où la reforme chrétienne avait répandu à l’église catholique. Un groupe autour l’évêque d’Ypres, Cornelius Jansen, les jansénistes avait son essor à l’époque quand Mme de Lafayette écrivait ce roman. Elle était janséniste, mais lesquels qu’on nomme ”jansénistes” ne veulent pas se protester comme rien que des membres de l’église Catholique. Ce mouvement s’intéresse d'abord à « une réflexion théologique centrée sur le problème de la grâce divine, avant de devenir une force politique qui se manifeste sous des formes variées, touchant à la fois à la théologie morale, à l'organisation de l'Église catholique, aux relations entre foi et vie chrétienne, à la place du clergé dans la société et aux problèmes politiques de son temps. »3

En outre Mme de Lafayette, pendant sa jeunesse, fait partie des salons dont lesquels les femmes de l’aristocratie se rencontrent pour discuter la situation de la femme, lire des romans nouveaux et écouter des lectures des romans précieux. Ces femmes et leurs romans, en étants les premiers féministes en France, étaient dénigrées et le roman précieux fut un nom péjoratif. Aujourd’hui les salons et les romans précieux sont réévalués; leurs œuvres sont appréciés pour sa langue pionnière et les discussions sur l’amour contre la liberté inspirent toujours des féministes. Selon les précieuses une femme libre pouvait nier ses émotions sexuelles, comme Mme de Clèves; « Elle ne sentait que le plaisir de voir M. de Nemours, elle en avait une joie pure et sans mélange qu’elle n’avait jamais sentie : cette joie lui donnait une liberté et un enjoument dans l’esprit que M. de Nemours ne lui avait jamais vus et qui redoublaient son amour. » p.158

Selon la définition des précieuses Mme de Clèves est une femme libre, alors elle est un exemple d’une femme pleine d’intégralité et d’intégrité. Mme de Clèves s’ouvre seulement aux autres personnes, elle garde soi-même et conserve la serrure de son cœur soigneusement, la serrure dont laquelle elle-même a les seules clés. Comme un exemple d’intégralité et d’intégrité elle peut fonctionner comme inspiration, bien rare aujourd’hui, pour les jeunes femmes de la génération Facebook.



lördag 3 december 2011

La Princesse de Clèves, un roman de clés V: les précieuses un féminisme du XVII siècle

Madame Scudéry, féministe et précieuse
La Princesse de Clèves est  un mélange entre un roman précieux féministe et janséniste. L’église catholique estime toujours madame Lafayette comme un auteur aussi génial comme moral parce qu’elle faisait partie du jansénisme , un mouvement religieux qui s’intéressait aux relations entre foi et vie chrétienne, à la place du clergé dans la société et aux problèmes politiques de son temps. Les pensées de jansénisme sont présentées dans le roman, en particuli`re l’idées de l’amour comme quelque chose de sombre, d’excessif. La passion amoureuse entre des hommes faibles découvre toute la cruauté et barbarie dans l’homme. Mais quand on peut, comme la Princesse, nier la passion amoureuse l’homme devient noble en pratiquant les vertus chrétiennes, ceux-ci que la Princesse pratiquaient dans le couvent à la fin de sa vie courte.

Le motif et les personnages sont comme ceux d’un roman précieux, l’aristocratie et l’amour, tandis que l’amour dans La Princesse de Clèves ne soit pas idéalisé, comme normalement dans les romans précieux. Plutôt l’amour est une chose à craindre comme une force majeure selon Madame de Lafayette. La vocabulaire est aussi comme le vocabulaire précieux, les mots «nobles» sont vraiment choisi plutôt que les mots «bas» , la langue est inventive et parfois trop sentimentale. Par ailleurs, selon les femmes précieuses une femme libre était une femme qui pouvait résister ses sentiments sexuels et pour cette raison « La Princesse de Clèves» est une femme très précieuse et , malgré tout le chagrin, une femme heureuse, responsable de sa propre vie et par conséquent libre.  Cependat, à la fois la princesse devient une femme qui a trouvé le bonheur dans une vie religieuse, donc elle vit aussi le rêve d’un janséniste.

fredag 2 december 2011

La Princesse de Clèves, un roman de clés IV: un amour possible, un féminisme du XVII siècle

Madame de la Fayette
La fin de La Princesse de Clèves; avec la jeune veuve au couvent paraît plus tranquille et harmonieuse que triste, probablement parce que Mme de Lafayette trouvait la fin comme une finale aussi logique comme heureuse d’un amour si fatale et incontrôlable. C’est aussi intéressante que la Princesse était morte comme une assez jeune femme « et sa vie, qui fut assez courte, laissa des exemples de vertu inimitables.» 

L’intertextualité du roman se compose surtout du roman courtois du moyen âge, les romans héroïques, cependant le héros du ce roman est une heroïne, et les romans précieux de son époque, le roman avait aussi inspiré  des ouvres comme les premiers romans anglais, par exemple Pamela-or Virtue Rewarded par Samuel Richardson et je pense aux romans de Jane Austen quand je lit: « Mme de Clèves, qui était dans cet âge où l’on ne croit pas qu’une femme puisse être aimée quand elle a passé vingt-cinq ans, regardait avec extrême étonnement l’attachement que le Roi avait pour cette duchesse, qui était grande -mère, et qui venait se marier sa petite-fille. » Peut-être les romans de Jane Austen était une discussion avec Mme de Lafayette parce que Jane Austen croit en amour en mariage, tandis que Mme de Lafayette n’en avait rien d’attente?

Cette histoire d’un mariage entre une jeune femme parfaite, belle et pleine de vertu et un homme qui la présente à son plus grand rival a eu beaucoup de successeurs, entre eux Middlemarch par George Eliot, dont lequel les mots clés de ce blog, réfléchissent les mots finals de La princesse de Clèves:       « for the growing good of the world is partly dependent on unhistoric acts; and that things are not so ill with you and me as they might have been, is half owing to the number who lived faithfully a hidden life, and rest in unvisited tombs. » Les mots qui marquent la fin de La Princesse de Clèves sont: « […] et sa vie, qui fut assez courte, laissa des exemples de vertu inimitables. »

Mme de Lafayette, en étant catholique janséniste, un mouvement dans la reforme dans l’église catholique, faudrait penser à la morte comme une stage temporaire qui mène à la vie éternelle ; d’abord au ciel et puis au monde récréé et parfait, la place qu’on appelle le Paradis. Donc, la fin pour la Princesse de Clèves était une fin heureuse dont laquelle elle réunira avec son mari M. de Clèves, mais cette fois il sera son ami.

torsdag 1 december 2011

La Princesse de Clèves, un roman de clés III: une vie symbolique, un amour impossible

À part de Madame de Clèves elle est folle d’amour de M. de Nemours et elle l’a avoué à son mari qui ne sait pas qui est l’homme que sa femme aime tellement fort. Mais il est plein de sentiments de jaloux contre l’homme inconnu qui réussit de faire la princesse l’aime. M. de Nemours est aussi l’ami de M. de Clèves et surtout de l’oncle de Mme de Clèves, le Vidame de Chartres. Une lettre à lui serait le début de l’amitié et mais le Vidame est aussi la cause de la tragédie de la famille de Clèves et M. de Nemours.  La Reine pense que la lettre est à M. de Nemours d’une maîtresse et la donne à Mme de Clèves, qui fut jalouse mais quand M. de Nemours expliquait celle-ci avait eu lieu à M. de Clèves et Mme de Clèves leur amitié fut solidement fondée et la ménage à trois commença.

Cependant, quand Mme de Clèves fit son aveu de l’amour pour M. de Nemours, le même entend l’aveu en cachant. Par conséquence tous les trois savent le secret, mais M. et Mme de Clèves ne savent pas que M.de Nemours le sait. M. de Nemours, raconte l’histoire comme une histoire d’une autre personne pour le Vidame, mais ce commer devine que celle-ci est le vraie histoire d’amour de M.et Mme de Clèves et M. de Nemours et raconte l’histoire de la Reine, sa maîtresse, et puis toute la cour sait tout de l’amour et l’amitié des trois amis à partir de cet instance sont écartés l’un de l’autre par les soupçonnes.


L'auteur, Madame de Lafayette,  avait des amis parmi des jansénistes autour Blaise Pascal. Elles avait lu son livre Pensées et elle considérait l’amour au mariage comme impossible. Dans ce roman l’amour est une fatalité qui tombe comme une accidente aux amoureuses. Si l’amour n’est pas impossible il est sans morale, et honteux, un jeu pour les cavaliers et les dames oisives de la cour. Mais pour M. et Mme de Clèves l’amour devient une gravité mortelle. M. de Nemours est changé par l’amour pour Mme de Clèves. Leur relation eut été le plus grand événement de sa vie.

lördag 29 oktober 2011

La Princesse de Clèves, un roman de clés I: l'époque


L’époque où se déroule le récit du roman La princesse de Clèves par Madame de Lafayette est vers 1550 en France et le lieu est la cour d’Henri II, mais on fait aussi des excursions quand on écoute des conversations dans la cour d’Angleterre et l’Écosse. Henri VIII d’Angleterre et sa fille la Reine Élisabeth font partie du personnage secondaire avec la rivale et cousine d’Élisabeth, Marie Stuart.  L’Europe des années 1500 est une Europe déchirée des conflits des religions, ou plus précise, entre l’église catholique et les nouvelles églises protestantes.

L’essor du protestantisme en France est bien fort et Henri II le réprime plus que son père Henri I. La France est toujours en pleine guerre en Italie. Les guerres d’Italie, menées pour conquérir les royaumes de Naples et le duché de Milan, que les souverains français  estimaient comme des parties de la France légitimes. Pourtant le roman ne s’intéresse pas aux guerres de l’époque mais aux  des guerres du cœur en manifestant dans des intrigues de la cour. Les guerres sont seulement présentes comme la cause des cavaliers de faire ses adieux aux dames de la cour.

Henri II le Roi du roman
Diane de Poitiers, la duchesse Valentinois,
la maïtresse et amie d'Henri II
Cathérine de Médici la Reine du roman
et la femma d'Henri II

Cependant, l’histoire des cours en Europe de l’ouest pénètre le roman totalement, mais les premières pages sont totalement dédiées à la politique amoureuse de l’époque. L’amitié entre l’auteur, Mme Lafayette et la princesse Henriette d’Angleterre est probablement la cause de cette introduction au style du Seigneur des anneaux par J.R.R Tolkien. L’introduction était critiquée pour être ennuyeuse et probablement il y avaient des lecteurs pendant l’existence du roman qui avaient trouvé l’introduction de La princesse de Clèves  aussi ennuyeuse mais on peut protester que l’introduction historique fait le récit plus vraisemblable, comme ceux du Seigneur des anneaux.

Sans l’introduction historique, cette histoire d’amour serait moins captivante parce qu’on doit comprendre les intrigues de la cour, et la menace à l’égard de la vie que les royautés puissent poser, pour comprendre quelques situations du récit, comme l’épisode avec la lettre de Vidame de Chartres, l’oncle de la princesse de Clèves. En fait l’introduction qui commence dans la perspective à vol d’oiseau et finit en  zoomant sur la princesse de Clèves est géniale, si on pense que Mme de Lafayette voulait raconter une historie avec un moral plus grand qu’une histoire d’amour principalement désignée pour plaisir, parce que ce roman est principalement un roman d’idées désigné pour faire
réfléchir le lecteur .
Mon édition de La Princesse de Clèves

onsdag 19 oktober 2011

Lécole des femmes par Molière partie III: La leçon

Jean-Antoine Watteau, L'amour au théâtre Italien (1714)
Quand tout est étourdi et les deux amoureux sont désolés parce que Horace doit épouser une fille inconnue, la fille du beau-frère de Chrysalde à la fois qu’Arnolphe est en train d’épouser Agnés, Enrique entra comme la déesse Afrodite, la déesse d’amour pour sauver les deux amoureux. Enrique est le père d’Agnés en rentrant d’Amérique pour faire sa fille épouser Horace, le fils de son ami Oronte. Donc Agnés est plus riche et plus haute dans la société que Arnolphe, et beaucoup plus heureuse.

Agnés donc n’apprend rien des choses qui Arnolphe lui avait essayé enseigner. Tandis que Arnolphe apprend sa place dans la société. En outre il apprend que les gens autour de lui sont des gens avec ses propres volontés, ils ne sont pas ses jouets. Surtout il apprend comment un cœur déchiré sent puisqu’il, totalement inattendu, était tombé amoureux de son élève.

À la fin Arnolphe avait appris beaucoup de la vie et il a trouvé sa place dans la société. Et malgré qu’il soit le personnage principal du pièce il est même disparu. Je pense que cette scène était très populaire avec les gens de l’aristocratie, l’aristocratie aime rire au bourgeois ridicule, mais aujourd’hui la fin est plus tragique que comique. L’homme Arnolphe avait perdu tout en apprenant qu’il ne deviendra jamais un homme aimé et respecté parmi ses «amis» plus haute en société et il ne deviendra jamais un homme marié sans risquer être un cocu, parce que l’amour est un risque mais quand même l’amour est sa seule chance d’être heureux.

Peut-être Molière écrivait cette pièce comme examen dans son «école des maris» en montrant, avec sa pièce, son amour et respecte pour sa jeune femme Armande. Hélas, c’est une pièce toujours actuelle, beaucoup plus d’hommes,et de femmes, du monde doivent apprendre la leçon d’Arnolphe.

L'école des femmes IIc: Les personnages

Il y a aussi des personnages sécondaires dans la commédia dell’arte et dans cette pièce de Molière ils sont les les paysans et les vieillards: Alain et Georgette, les deux employés d’Arnolphe. Ils sont les personnages les plus comiques dans cette pièce. Dans la commédia dell’arte ces deux personnages sont les zannis, les valets et paysans du petit peuple. Parmi lesquels on trouve l’Arlequin dans la commédia dell’arte, ici son nom est Alain. Quand Alain et Georgette entrent la scène celle devient burlesque. Mais la plus drôle scène est quand Agnès lis les Maximes pour la femme mariée.

Les vieillards de cette pièce sont le notaire (le docteur ou l’avocat de la commédia dell’arte), les amis d’Arnolphe; Chrysalde, Oronte-le père d’Horace et Enrique, le deus ex machina de la pièce. Enrique avait été en Amérique et il est le beau-frère de Chrysalde et l’ami d’Oronte, mais surtout il est le père d’Agnés.

Lécole des femmes par Molière partie II: Les personnages

Une représentation de la commedia dell'arte par la troupe des Gelosi (1571-1604) : peinture flamande de la fin du XVIe siècle conservée au musée Carnavalet à Paris. On connaît une autre version du tableau au Musée Calvet d'Avignon. L’amoureux, caché, fait passer un message à sa bien-aimée par un entremetteur sous l’œil soupçonneux du barbon Pantalon (en rouge et noir) suivi de son valet Zanni
La comédie «L’école des femmes» se déroule dans un faubourg de Paris, « une place de ville où des bourgeois bavardent, et qu’un blondin à la dernière mode traverse d’un pas sémillant.»selon la préface de mon édition de la pièce, chez Arnolphe et ses amis, le premier rôle de la pièce. Quand on parle de la commédia dell arte Arnolphe représente un mélange de Mascarille, l’intrigant maître en fourberies des zannis, le petit peuple, et Pantalone le vieux barbon amoureux d’une jeune fille, parmi des vieillards de la bourgeoisie.  C’est intéressant que Molière fit Arnolphe comme  un mélange entre le petit peuple et les vieillards parce que Arnolphe est un homme de la classe moyenne, et comme ça il est un homme entre les classes qui voudrait faire partie de l’aristocratie.

Par consquent Arnolphe adopte le nom du Monsieur de la Souche pour devenir feint aristocratique et ainsi recevoir la confidence de son jeune rival Horace. Arnolphe me semble un homme très seul sans famille, mais il est riche, donc il a des employées, des paysans, et quelques connaissances qu’on appelle des «amis».

L’époque de la pièce est aussi l’époque de Molière, il décrit ses contemporains, et peut-être il aussi décrit soi-même avec beaucoup d’auto - ironie, après tout il écrivait la pièce pendant l’année de la noce avec sa jeune femme Armande, vingt ans plus jeune que son beau-père Molière. En outre Arnolphe joue avec ses employés, Agnés et le jeune Horace comme un enfant joue avec des poupées ou comme un auteur joue avec ses personnages. Mais à la fin il trouve que les gens autour de lui ont sa propre volonté et ainsi il comprend qu’ils sont des hommes, ils ne sont pas ses jouets.

tisdag 18 oktober 2011

L'école des femmes par Molière partie I: Molière et son époque

Molière

L’École des femmes par Molière - le professeur apprend

Molière est le plus connu auteur des comédies de la France. Son œuvre est constamment joué autour du monde et entre eux « L’école des femmes» fut son plus grand succès. Comme William Shakespeare Molière était acteur, surtout comédien, et directeur d’une compagnie; l’Illustre Théâtre malgré qu’il soit un fils d’un riche marchand, aussi comme Shakespeare. Molière était son nom de plume, il fut né à Paris en 1622 sous son nom originel, Jean- Baptiste Poquelin. Quand il avait 21 ans il fonda sa compagnie du théâtre avec son amie Madeleine Béjart.

Il commença à créer des farces ou des « petits divertissements » inspiré de la comédie italienne, la commédia dell’arte, avec ses personnages fixés1 mais il écrivait aussi des tragédies qui n’étaient jamais des succès. En 1658 la troupe reçoit la salle du Petit - Bourbon du roi.  La sécurité et calme que cette promotion lui donna la créativité d’achever la maîtrise comme dramaturge des comédies et  quand il épousa sa belle-fille Armande Béjart en 1662 la vie lui souriait et il fut son plus grand succès L’école des femmes.

Des comédiens en Italie par Dujardin, 1657